Une séance de kinésiologie comporte 4 étapes:
1- le kinésiologue interroge son client, via le corps de ce dernier, sur ce dont il a besoin en priorité pour aller mieux;
2- le kinésiologue informe son client, via son corps, des corrections kinésiologiques qui vont répondre précisément à ce besoin;
3- le kinésiologue effectue la correction proprement dite sur son client; et
4- le kinésiologue montre à son client, via son corps, que le besoin n’existe plus car la correction y a effectivement répondu.
Cette dernière étape permet à la correction d’être pérenne.
Francis Vieules, l’inventeur de la très efficace Adaptogenèse, explique ces étapes beaucoup mieux que moi (cf.:https://www.kinesiologie-formation.com/kinesiologie).
Ces 4 étapes se font par le test musculaire, c’est-à-dire que le kinésiologue fait un toucher très doux au-dessus du poignet de son client afin d’avoir une réponse de la personne via ses muscles, réponse qui dépendra de la tonicité du muscle. Cela permet au kinésiologue de s’aider des réponses inconscientes de son client, en plus de ses réponses verbales. Cela ne se fera cependant que si le client, dans sa globalité, est d’accord.
En effet, l’inconscient d’une personne est là pour la protéger et refusera l’accès au kinésiologue si la personne n’est pas prête à conscientiser certaines choses. La kinésiologie a cela de formidable qu’elle ne peut être ni invasive, ni intrusive. Elle ne fonctionne qu’en accord avec le bien-être de la personne et ne va que là où la personne lui donne accès.
Lorsque cet accès est autorisé, le test kinésiologique traduit le besoin exact de la personne car c’est le corps qui donne l’information. En effet, souvenez-vous que nous avons tous des besoins différents les uns des autres.
Mais qu’en est-il des personnes qui veulent faire une séance, alors qu’elles sont par nature un peu réfractaires au fait de se laisser facilement toucher? Une séance est-elle malgré tout envisageable?
Réponse dans le prochain post 😊.